De mon point de vue, si le métier de cordiste n' existe pas, les boites spécialisés en acro ne le devraient pas non plus.
Simple logique, il n' y a pas de boulangerie sans boulanger.
N' est il point ? Qu' en pensez vous ?
Est ce que l' avenir du métier ne passe- t- il pas par la reconnaissance de son existence ?
Quel est le but de sa négation si ce n' est de maintenir des salaires au raz des paquerettes ? D' autant que le fait de posseder une spécialité n' est pas forcemment monnayable. Certes, celui qui possède une spécialité decrochera plus facilement du travail mais pas forcement mieux rémuneré.
Comment se fait il que des entreprises du batiment , dans le traditionnel je m' entends, arrivent à degager les calandaires, la prises en charge du carburant etc... et qu' en acro, que dalle. Les boites rechignent pour payer 5 grands déplacements. Pour ma part, même si la plupart du temps, ma semaine finit le vendredi midi, je passe la nuit du dimanche près du chantier ( comme beaucoup d' interimaire). Donc du dimanche au jeudi ça fait bien 5 nuitées. Encore une question de logique, il est difficile d' être sur le chantier le lundi matin pour 8 heures si tu as plusieurs heures de routes pour y arriver. Sauf sédentarisation bien sur mais c' est un autre dossier.
Je m' arrête là pour aujourd'hui, messieurs, mesdames, au plaisir de vous lire.